Le Sénégal traverse une époque où l’arbitraire semble triompher sur le droit, où les puissants écrasent les patriotes économiques, et où la justice devient un labyrinthe sans issue. Le cas de Bocar Samba Dièye, magnat du riz et entrepreneur visionnaire, incarne cette dérive inquiétante.
Un feuilleton judiciaire interminable
Depuis des années, Dièye est pris dans les griffes d’un bras de fer judiciaire contre le géant bancaire CBAO-Attijari. Malgré 12 victoires judiciaires, dont une condamnation de la banque à lui verser 11 milliards de FCFA et l’annulation du protocole de dette à l’origine du litige, l’homme d’affaires est aujourd’hui menacé d’expulsion physique de ses propres immeubles. La banque, dans une manœuvre controversée, a procédé à la mutation des titres fonciers en son nom.
Quand la justice se déclare incompétente…
En septembre 2025, le Tribunal de Commerce s’est déclaré incompétent pour statuer sur l’opposition de Dièye à l’exécution de l’expulsion. Une décision qui ouvre la voie à une saisie brutale de ses biens, malgré les jugements en sa faveur. Ce paradoxe judiciaire révèle une justice à deux vitesses, où les décisions favorables à un citoyen sont ignorées, tandis que les intérêts des puissants sont exécutés avec zèle.
Un homme au bord du gouffre
Face à cette injustice, Dièye a confié avoir été au bord du suicide. Ce cri du cœur ne doit pas être ignoré. Il est le reflet d’un système qui broie les hommes, même lorsqu’ils ont raison. Le combat de Dièye est devenu celui de tous les Sénégalais épris de justice, de dignité et de souveraineté économique.
Le Thié Pastef Sindia appelle à la mobilisation
Nous, citoyens engagés, refusons de rester silencieux face à cette mascarade judiciaire. Nous exigeons que la Cour Suprême mette fin à ce supplice juridique et rétablisse les droits de Bocar Samba Dièye. Ce combat n’est pas seulement le sien : c’est celui de tous les patriotes, de tous les entrepreneurs, de tous les résistants à l’injustice.
Soutenons Bocar Samba Dièye. Défendons la justice. Protégeons notre dignité nationale.